Paroles, paroles, paroles...





Armstrong



Armstrong, je ne suis pas noir
Je suis blanc de peau
Quand on veut chanter l’espoir
Quel manque de pot
Oui, j’ai beau voir le ciel, l’oiseau
Rien rien rien ne luit là-haut
Les anges... zéro
Je suis blanc de peau

Armstrong, tu te fends la poire
On voit toutes tes dents
Moi, je broie plutôt du noir
Du noir en dedans
Chante pour moi, Louis, oh oui
Chante chante chante, ça tient chaud
J’ai froid, oh moi
Qui suis blanc de peau

Armstrong, la vie, quelle histoire?
C’est pas très marrant
Qu’on l’écrive blanc sur noir
Ou bien noir sur blanc
On voit surtout du rouge, du rouge
Sang, sang, sans trêve ni repos
Qu’on soit, ma foi
Noir ou blanc de peau

Armstrong, un jour, tôt ou tard
On n’est que des os
Est-ce que les tiens seront noirs?
Ce serait rigolo
Allez Louis, alléluia
Au-delà de nos oripeaux
Noir et blanc sont ressemblants
Comme deux gouttes d’eau
Oh yeay!


bella ciao

Una mattina
Mi son'svegliato
O bella ciao, bella ciao
Bella ciao, ciao, ciao
Una mattina
Mi son'svegliato
E ho trovato l'invasore.

O partigiano
Porta mi via
O bella ciao, bella ciao
Bella ciao, ciao, ciao
O partigiano
Porta mi via
Che mi sento di morire.

E se io muoio
Da partigiano
O bella ciao, bella ciao
Bella ciao, ciao, ciao
E se io muoio
Da partigiano
Tu mi devi seppellire.

Mi seppellirai
Lassù in montagna
O bella ciao, bella ciao
Bella ciao, ciao, ciao
Mi seppellirai
Lassù in montagna
Sotto l'ombra d'un bel fiore

E la gente
Che
passerà
O bella ciao, bella ciao
Bella ciao, ciao, ciao
E la gente
Che
passerà
E dirà : "O che bel fiore".

E questo il fiore
Del partigiano
O bella ciao, bella ciao
Bella ciao, ciao, ciao
E questo il fiore
Del partigiano
Morto per la libertà




CLANDESTINO

solo voy con mi pena
sola va mi condena
correr es mi destino
para burlar la ley
perdido en el corazon
de la grande babylon
me dicen el clandestino
por no llevar papel

pa una ciudad del norte
yo me fui a trabajar
mi vida la deje
entre Ceuta y Gibraltar
soy una raya en el mar
fantasma en la ciudad
mi vida va prohibida
dice la autoridad

solo voy con mi pena
sola va mi condena
correr es mi destino
por no llevar papel
perdido en el corazon
de la grande babylon
me dicen el clandestino
yo soy el quiebra ley

mano negra clandestina
peruano clandestino
africano clandestino
marijuana ilegal

solo voy con mi pena
sola va mi condena
correr es mi destino
para burlar la ley
perdido en el corazon
de la grande babylon
me dicen el clandestino
por no llevar papel.

artelino clandestino
nigeriano clandestino
boliviano clandestino
mano negra ilegal





Emmenez-moi

Vers les docks où le poids et l’ennui
Me courbent le dos
Ils arrivent le ventre alourdi
De fruits les bateaux

Ils viennent du bout du monde
Apportant avec eux
Des idées vagabondes
Aux reflets de ciels bleus
De mirages

Traînant un parfum poivré
De pays inconnus
Et d’éternels étés
Où l’on vit presque nus
Sur les plages

Moi qui n’ai connu toute ma vie
Que le ciel du nord
J’aimerais débarbouiller ce gris
En virant de bord

Emmenez-moi au bout de la terre
Emmenez-moi
au pays des merveilles
Il me semble que la misère
Serait
moins pénible au soleil

Dans les bars à la tombée du jour
Avec les marins
Quand on parle de filles et d’amour
Un verre à la main

Je
perds la notion des choses
Et soudain ma pensée
M’enlève et me dépose
Un merveilleux été
Sur la grève

je vois tendant les bras
L’amour qui comme un fou
Court au devant de moi
Et je me pends au cou
De mon rêve



Quand les bars ferment, que les marins
Rejoignent leur bord
Moi je rêve encore jusqu’au matin
Debout sur le port

Emmenez-moi au bout de la terre
Emmenez-moi
au pays des merveilles
Il me semble que la misère
Serait
moins pénible au soleil

Un beau jour sur un rafiot craquant
De la coque au pont
Pour partir je travaillerais dans
La soute à charbon

Prenant la route qui mène
A mes rêves d’enfant
Sur des îles lointaines
Où rien n’est important
Que de vivre

Où les filles alanguies
Vous ravissent le cœur
En tressant m’a t’on dit
De ces colliers de fleurs
Qui enivrent

Je fuirais laissant là mon passé
Sans aucun remords
Sans bagage et le cœur libéré
En chantant très fort

Emmenez-moi au bout de la terre
Emmenez-moi
au pays des merveilles
Il me semble que la misère
Serait
moins pénible au soleil...






Guantanamera



Guantanamera, guajira
guantanamera (bis)

Yo soy un hombre sincero
De donde crece la palma(bis)
Y antes de morirme quiero
Echar mis versos del alma

Guantanamera, guajira
guantanamera (bis)



Mi verso es de un verde claro
Y de un jazmín encendido (bis)
Mi verso es un ciervo herido
Que busca en el monte amparo

Guantanamera, guajira
guantanamera (bis)



Por los pobres de la tierra
Quiero
yo mi suerte echar(bis)
El arrullo de la tierra
Me
complace más que el mar

Guantanamera, guajira
guantanamera (bis)






La complainte de la butte


En haut de la rue St-Vincent
Un
poète et une inconnue
S’aimèrent l’espace d’un instant
Mais il ne l’a jamais revue

Cette chanson il composa
Espérant que son inconnue
Un matin d’printemps l’entendra
Quelque part au coin d’une rue

La lune trop blême
Pose un diadème
Sur tes cheveux roux
La lune trop rousse
De gloire éclabousse
Ton jupon plein d’trous

La lune trop pâle
Caresse l’opale
De tes yeux blasés
Princesse de la rue
Soit
la bienvenue
Dans mon cœur blessé

Les escaliers de la butte sont durs aux miséreux
Les ailes des moulins protègent les amoureux




Petite mendigote
Je sens ta menotte
Qui cherche ma main
Je sens ta poitrine
Et ta taille fine
J’oublie mon chagrin

Je sens sur tes lèvres
Une odeur de fièvre
De gosse mal nourri
Et sous ta caresse
Je sens une ivresse
Qui m’anéantit

Les escaliers de la butte sont durs aux miséreux
Les ailes des moulins protègent les amoureux

Mais voilà qu’il flotte
La lune se trotte
La princesse aussi
Sous le ciel sans lune
Je pleure à la brune
Mon
rêve évanoui





La Java Bleue:

C'est la java bleue
La java la plus belle
Celle qui ensorcelle
Quand on la danse les yeux dans les yeux
Au rythme joyeux
Quand les corps se confondent
Comme elle au monde
Il n'y en a pas deux
C'est la java bleue

Il est au bal musette
Un air rempli de douceur
Qui fait tourner les táªtes
Qui fait chavirer les cÅ
urs
Quand on la danse á  petits pas
Serrant celle qu'on aime dans ses bras
On lui murmure dans un frisson
En écoutant chanter l'accordéon.


C'est la java bleue
La java la plus belle
Celle qui ensorcelle
Quand on la danse les yeux dans les yeux
Au rythme joyeux
Quand les corps se confondent
Comme elle au monde
Il n'y en a pas deux
C'est la java bleue

" Chérie, sous mon étreinte,
Je veux te serrer plus fort
Pour mieux garder l'empreinte
Et la chaleur de ton corps ".
Que de promesses, que de serments
On se fait dans la folie d'un moment.
Car sous serment, remplis d'amour,
On sait que á§a ne durera pas toujours.

Mais, c'est la java bleue
La java la plus belle
Celle qui ensorcelle
Quand on la danse les yeux dans les yeux.
Au rythme joyeux
Quand deux coeurs se confondent
Comme elle au monde
Il n'y en a pas deux
C'est la java bleue.

Comme elle au monde
Il n'y en a pas deux,
C'est la java bleue.
C'est la java bleue
La java la plus belle
Celle qui ensorcelle
Quand on la danse les yeux dans les yeux
Au rythme joyeux
Quand les corps se confondent
Comme elle au monde
Il n'y en a pas deux
C'est la java bleue

Il est au bal musette
Un air rempli de douceur
Qui fait tourner les têtes
Qui fait chavirer les coeurs
Quand on la danse á  petits pas
Serrant celle qu'on aime dans ses bras
On lui murmure dans un frisson
En écoutant chanter l'accordéon.


C'est la java bleue
La java la plus belle
Celle qui ensorcelle
Quand on la danse les yeux dans les yeux
Au rythme joyeux
Quand les corps se confondent
Comme elle au monde
Il n'y en a pas deux
C'est la java bleue



" Chérie, sous mon étreinte,
Je veux te serrer plus fort
Pour mieux garder l'empreinte
Et la chaleur de ton corps ".
Que de promesses, que de serments
On se fait dans la folie d'un moment.
Car sous serment, remplis d'amour,
On sait que ça ne durera pas toujours.

Mais, c'est la java bleue
La java la plus belle
Celle qui ensorcelle
Quand on la danse les yeux dans les yeux.
Au rythme joyeux
Quand deux coeurs se confondent
Comme elle au monde
Il n'y en a pas deux
C'est la java bleue.

Comme elle au monde
Il n'y en a pas deux,
C'est la java bleue.




La Montagne:
Ils quittent un à un le pays
Pour s'en aller gagner leur vie
Loin de la terre où ils sont nés
Depuis longtemps ils en rêvaient
De la ville et de ses secrets
Du formica et du ciné
Les vieux ça n'était pas original
Quand ils s'essuyaient machinal
D'un revers de manche les lèvres
Mais ils savaient tous à propos
Tuer la caille ou le perdreau
Et manger la tomme de chèvre

Pourtant que la montagne est belle
Comment peut-on s'imaginer
En voyant un vol d'hirondelles
Que l'automne vient d'arriver ?

Avec leurs mains dessus leurs têtes
Ils avaient monté des murettes
Jusqu'au sommet de la colline
Qu'importent les jours les années
Ils avaient tous l'âme bien née
Noueuse comme un pied de vigne
Les vignes elles courent dans la forêt
Le vin ne sera plus tiré
C'était une horrible piquette
Mais il faisait des centenaires
A ne plus que savoir en faire
S'il ne vous tournait pas la tête

Pourtant que la montagne est belle
Comment peut-on s'imaginer
En voyant un vol d'hirondelles
Que l'automne vient d'arriver ?

Deux chèvres et puis quelques moutons
Une année bonne et l'autre non
Et sans vacances et sans sorties
Les filles veulent aller au bal
Il n'y a rien de plus normal
Que de vouloir vivre sa vie
Leur vie ils seront flics ou fonctionnaires
De quoi attendre sans s'en faire
Que l'heure de la retraite sonne
Il faut savoir ce que l'on aime
Et rentrer dans son H.L.M.
Manger du poulet aux hormones

Pourtant que la montagne est belle
Comment peut-on s'imaginer
En voyant un vol d'hirondelles
Que l'automne vient d'arriver ?
Ils quittent un à un le pays
Pour s'en aller gagner leur vie
Loin de la terre où ils sont nés
Depuis longtemps ils en rêvaient
De la ville et de ses secrets
Du formica et du ciné
Les vieux ça n'était pas original
Quand ils s'essuyaient machinal
D'un revers de manche les lèvres
Mais ils savaient tous à propos
Tuer la caille ou le perdreau
Et manger la tomme de chèvre

Pourtant que la montagne est belle
Comment peut-on s'imaginer
En voyant un vol d'hirondelles
Que l'automne vient d'arriver ?

Avec leurs mains dessus leurs têtes
Ils avaient monté des murettes
Jusqu'au sommet de la colline
Qu'importent
les jours les années
Ils avaient tous l'âme bien née
Noueuse comme un pied de vigne
Les vignes elles courent dans la forêt
Le
vin ne sera plus tiré
C'était une horrible piquette
Mais il faisait des centenaires
A ne plus que savoir en faire
S'il ne vous tournait pas la tête

Pourtant
que la montagne est belle
Comment peut-on s'imaginer
En voyant un vol d'hirondelles
Que l'automne vient d'arriver ?

Deux chèvres et puis quelques moutons
Une année bonne et l'autre non
Et sans vacances et sans sorties
Les filles veulent aller au bal
Il n'y a rien de plus normal
Que de vouloir vivre sa vie
Leur vie ils seront flics ou fonctionnaires
De quoi attendre sans s'en faire
Que l'heure de la retraite sonne
Il faut savoir ce que l'on aime
Et rentrer dans son H.L.M.
Manger du poulet aux hormones

Pourtant que la montagne est belle
Comment peut-on s'imaginer
En voyant un vol d'hirondelles
Que l'automne vient d'arriver ?




La partie de pétanque

Quand reviennent les beaux jours
Sur les places et les cours
On voit sous platanes
Plus d´un groupe s´amener
Ce sont les acharnés
Les joyeux boulomanes
On joue ça en quinze points
Faut voir avec quel soin
On sort ses intégrales
On lance un goder
Qui tourne dans l´air
Si c´est pile : "A toi Bébert !"
"Vas-y Léon. Envoie bien le bouchon !"

Refrain:
Une partie de pétanque
Ça fait plaisir
La boule part et se planque
Comme à loisir
Tu la vises et tu la manques
Change
ton tir !
Une partie de pétanque
Ça fait plaisir !

Il faut voir le beau chichois
En chemise de soie
Pantalon de flanelle
Le foulard et le pailleux
Rabattu sur les yeux
Jouer sa matérielle
Avec Titin ou Pauleau
Quand pour un joli lot
Il se prend de querelle
Il lui dit, moqueur :
"Si tu es vainqueur
Eh ben ! tu auras son cœur
Si tu es vaincu,
Ben ! ... Je t´en dis pas plus !"



Refrain


C´est surtout au cabanon
Que nous nous en donnons
Au soleil le dimanche
On se met à quatre ou six
Pour un vermouth-cassis
On en fait plusieurs manches
Marius est un peu là
Mais sa femme Rosa
S´égare sous les branches
Titin qui la suit
Tendrement
lui dit :
"Pendant ce temps, ma chérie,
Nous, dans ce coin,
Nous marquerons les points ! "

Refrain









L'Amérique

Mes amis, je dois m'en aller
Je n'ai plus qu'à jeter mes clés
Car elle m'attend depuis que je suis né
L'Amérique

J'abandonne sur mon chemin
Tant de choses que j'aimais bien
Cela commence par un peu de chagrin
L'Amérique

L'Amérique, l'Amérique, je veux l'avoir et je l'aurai
L'Amérique, l'Amérique, si c'est un rêve, je le saurai
Tous les sifflets des trains, toutes les sirènes des bateaux
M'ont chanté cent fois la chanson de l'Eldorado
De l'Amérique

Mes amis, je vous dis adieu
Je devrais vous pleurer un peu
Pardonnez-moi si je n'ai dans mes yeux
Que l'Amérique

Je reviendrai je ne sais pas quand
Cousu d'or et brodé d'argent
Ou sans un sou, mais plus riche qu'avant
De l'Amérique

L'Amérique, l'Amérique, je veux l'avoir et je l'aurai
L'Amérique, l'Amérique, si c'est un rêve, je le saurai
Tous les sifflets des trains, toutes les sirènes des bateaux
M'ont chanté cent fois la chanson de l'Eldorado
De l'Amérique

L'Amérique, l'Amérique, si c'est un rêve, je rêverai
L'Amérique, l'Amérique, si c'est un rêve, je veux rêver





Le petit vin blanc

Voici le printemps
La douceur du temps
Nous fait des avances
Partez mes enfants
Vous avez vingt ans
Partez en vacances
Vous verrez agiles
Sur l'onde tranquille
Les barques dociles
Au bras des amants
De fraîches guinguettes
Des filles bien faites
Les frites sont prêtes
Et y a du vin blanc

{Refrain:}
Ah ! le petit vin blanc
Qu'on boit sous les tonnelles
Quand les filles sont belles
Du coté de Nogent
Et puis de temps de temps
Un air de vieille romance
Semble donner la cadence
Pour
fauter, pour fauter
Dans les bois, dans les prés
Du côté, du côté de Nogent

Suivant ce conseil
Monsieur le Soleil
Connaît son affaire
Cueillons, en chemin
Ce minois mutin
Cette robe claire
Venez belle fille
Soyez bien gentille
Là, sous la charmille
L'amour
nous attend
Les tables sont prêtes
L'aubergiste honnête
Y a des chansonnettes
Et y a du vin blanc.




A ces jeux charmants
La taille souvent
Prend de l'avantage
Ça n'est pas méchant
Ça finit tout le temps
Par un mariage
Le gros de l'affaire
C'est lorsque la mère
Demande
, sévère
A la jeune enfant
Ma fille raconte
Comment, triste honte
As-tu fait ton compte?
Réponds, je t'attends...

{Final:}
Car c'est toujours pareil
Tant qu' y aura du soleil
On verra les amants au printemps
S'en aller pour fauter
Dans les bois, dans les prés
Du côté, du côté de Nogent.







Les Amoureux Des Bancs Publics:

Les gens qui voient de travers
Pensent que les bancs verts
Qu'on voit sur les trottoirs
Sont faits pour les impotents ou les ventripotents
Mais c'est une absurdité
Car à la vérité
Ils sont là c'est notoire
Pour accueillir quelque temps les amours débutants

Les amoureux qui s'bécott'nt sur les bancs publics
Bancs publics, bancs publics
En s'fouttant pas mal du regard oblique
Des passants honnêtes
Les amoureux qui s'bécott'nt sur les bancs publics
Bancs publics, bancs publics
En s'disant des "Je t'aime" pathétiques
Ont des p'tit's gueul' bien sympatiques

Ils se tiennent par la main
Parlent du lendemain
Du papier bleu d'azur
Que revêtiront les murs de leur chambre à coucher
Ils se voient déjà doucement
Ell' cousant, lui fumant
Dans un bien-être sûr
Et choisissent les prénoms de leur premier bébé

Les amoureux qui s'bécott'nt sur les bancs publics
Bancs publics, bancs publics
En s'fouttant pas mal du regard oblique
Des passants honnêtes
Les amoureux qui s'bécott'nt sur les bancs publics
Bancs publics, bancs publics
En s'disant des "Je t'aime" pathétiques
Ont des p'tit's gueul' bien sympatiques

Quand la saint' famill' machin
Croise sur son chemin
Deux de ces malappris
Ell' leur décoche hardiment des propos venimeux
N'empêch' que tout' la famille
Le pèr', la mèr', la fille
Le fils, le Saint Esprit
Voudrait bien de temps en temps pouvoir s'conduir' comme eux

Les amoureux qui s'bécott'nt sur les bancs publics
Bancs publics, bancs publics
En s'fouttant pas mal du regard oblique
Des passants honnêtes
Les amoureux qui s'bécott'nt sur les bancs publics
Bancs publics, bancs publics
En s'disant des "Je t'aime" pathétiques
Ont des p'tit's gueul' bien sympatiques

Quand les mois auront passé
Quand seront apaisés
Leurs beaux rêves flambants
Quand leur ciel se couvrira de gros nuages lourds
Ils s'apercevront émus
Qu' c'est au hasard des rues
Sur un d'ces fameux bancs
Qu'ils ont vécu le meilleur morceau de leur amour

Les amoureux qui s'bécott'nt sur les bancs publics
Bancs publics, bancs publics
En s'fouttant pas mal du regard oblique
Des passants honnêtes
Les amoureux qui s'bécott'nt sur les bancs publics
Bancs publics, bancs publics
En s'disant des "Je t'aime" pathétiques
Ont des p'tit's gueul' bien sympatiques
Les gens qui voient de travers
Pensent que les bancs verts
Qu'on voit sur les trottoirs
Sont faits pour les impotents ou les ventripotents
Mais c'est une absurdité
Car à la vérité
Ils
sont là c'est notoire
Pour accueillir quelque temps les amours débutants

Les amoureux qui s'bécott'nt sur les bancs publics
Bancs publics, bancs publics
En s'fouttant pas mal du regard oblique
Des passants honnêtes
Les amoureux qui s'bécott'nt sur les bancs publics
Bancs publics, bancs publics
En s'disant des "Je t'aime" pathétiques
Ont des p'tit's gueul' bien sympatiques

Ils se tiennent par la main
Parlent
du lendemain
Du papier bleu d'azur
Que revêtiront les murs de leur chambre à coucher
Ils se voient déjà doucement
Ell' cousant, lui fumant
Dans un bien-être sûr
Et choisissent les prénoms de leur premier bébé

Les amoureux qui s'bécott'nt sur les bancs publics
Bancs publics, bancs publics
En s'fouttant pas mal du regard oblique
Des passants honnêtes
Les amoureux qui s'bécott'nt sur les bancs publics
Bancs publics, bancs publics
En s'disant des "Je t'aime" pathétiques
Ont des p'tit's gueul' bien sympatiques

Quand la saint' famill' machin
Croise sur son chemin
Deux de ces malappris
Ell' leur décoche hardiment des propos venimeux
N'empêch' que tout' la famille
Le
pèr', la mèr', la fille
Le
fils, le Saint Esprit
Voudrait bien de temps en temps pouvoir s'conduir' comme eux

Les amoureux qui s'bécott'nt sur les bancs publics
Bancs publics, bancs publics
En s'fouttant pas mal du regard oblique
Des passants honnêtes
Les amoureux qui s'bécott'nt sur les bancs publics
Bancs publics, bancs publics
En s'disant des "Je t'aime" pathétiques
Ont des p'tit's gueul' bien sympatiques

Quand les mois auront passé
Quand seront apaisés
Leurs beaux rêves flambants
Quand leur ciel se couvrira de gros nuages lourds
Ils s'apercevront émus
Qu' c'est au hasard des rues
Sur un d'ces fameux bancs
Qu'ils ont vécu le meilleur morceau de leur amour

Les amoureux qui s'bécott'nt sur les bancs publics
Bancs publics, bancs publics
En s'fouttant pas mal du regard oblique
Des passants honnêtes
Les amoureux qui s'bécott'nt sur les bancs publics
Bancs publics, bancs publics
En s'disant des "Je t'aime" pathétiques
Ont des p'tit's gueul' bien sympatiques




Les Champs-Élysées:

Je m'baladais sur l'avenue
Le coeur ouvert à l'inconnu
J'avais envie de dire bonjour
À n'importe qui
N'importe qui ce fut toi
Je t'ai dit n'importe quoi
Il suffisait de te parler
Pour t'apprivoiser

Aux Champs-Élysées
Aux Champs-Élysées
Au soleil, sous la pluie
À midi ou à minuit
Il y a tout ce que vous voulez
Aux Champs-Élysées

Tu m'as dit "J'ai rendez-vous
Dans un sous-sol avec des fous
Qui vivent la guitare à la main
Du soir au matin"
Alors je t'ai accompagnée
On a chanté, on a dansé
Et l'on n'a même pas pensé
À s'embrasser

Aux Champs-Élysées
Aux Champs-Élysées
Au soleil, sous la pluie
À midi ou à minuit
Il y a tout ce que vous voulez
Aux Champs-Élysées

Hier soir deux inconnus
Et ce matin sur l'avenue
Deux amoureux tout étourdis
Par la longue nuit
Et de l'Étoile à la Concorde
Un orchestre à mille cordes
Tous les oiseaux du point du jour
Chantent l'amour

Aux Champs-Élysées
Aux Champs-Élysées
Au soleil, sous la pluie
À midi ou à minuit
Il y a tout ce que vous voulez
Aux Champs-Élysées

Je m'baladais sur l'avenue
Le coeur ouvert à l'inconnu
J'avais envie de dire bonjour
À n'importe qui
N'importe qui ce fut toi
Je t'ai dit n'importe quoi
Il suffisait de te parler
Pour t'apprivoiser

Aux Champs-Élysées
Aux Champs-Élysées
Au soleil, sous la pluie
À midi ou à minuit
Il y a tout ce que vous voulez
Aux Champs-Élysées

Tu m'as dit "J'ai rendez-vous
Dans un sous-sol avec des fous
Qui vivent la guitare à la main
Du
soir au matin"
Alors je t'ai accompagnée
On a chanté, on a dansé
Et l'on n'a même pas pensé
À s'embrasser

Aux Champs-Élysées
Aux Champs-Élysées
Au soleil, sous la pluie
À midi ou à minuit
Il y a tout ce que vous voulez
Aux Champs-Élysées

Hier soir deux inconnus
Et ce matin sur l'avenue
Deux amoureux tout étourdis
Par la longue nuit
Et de l'Étoile à la Concorde
Un
orchestre à mille cordes
Tous les oiseaux du point du jour
Chantent l'amour

Aux Champs-Élysées
Aux Champs-Élysées
Au soleil, sous la pluie
À midi ou à minuit
Il y a tout ce que vous voulez



Les Copains D'abord:
Non, ce n'était pas le radeau
De la Méduse, ce bateau
Qu'on se le dise au fond des ports
Dise au fond des ports
Il naviguait en pèr' peinard
Sur la grand-mare des canards
Et s'app'lait les Copains d'abord
Les Copains d'abord

Ses fluctuat nec mergitur
C'était pas d'la litterature
N'en déplaise aux jeteurs de sort
Aux jeteurs de sort
Son capitaine et ses mat'lots
N'étaient pas des enfants d'salauds
Mais des amis franco de port
Des copains d'abord

C'étaient pas des amis de luxe
Des petits Castor et Pollux
Des gens de Sodome et Gomorrhe
Sodome et Gomorrhe
C'étaient pas des amis choisis
Par Montaigne et La Boetie
Sur le ventre ils se tapaient fort
Les copains d'abord

C'étaient pas des anges non plus
L'Évangile, ils l'avaient pas lu
Mais ils s'aimaient tout's voil's dehors
Tout's voil's dehors
Jean, Pierre, Paul et compagnie
C'était leur seule litanie
Leur Credo, leur Confiteor
Aux copains d'abord

Au moindre coup de Trafalgar
C'est l'amitié qui prenait l'quart
C'est elle qui leur montrait le nord
Leur montrait le nord
Et quand ils étaient en détresse
Qu'leurs bras lancaient des S.O.S.
On aurait dit les sémaphores
Les copains d'abord

Au rendez-vous des bons copains
Y avait pas souvent de lapins
Quand l'un d'entre eux manquait a bord
C'est qu'il était mort
Oui, mais jamais, au grand jamais
Son trou dans l'eau n'se refermait
Cent ans après, coquin de sort
Il manquait encore

Des bateaux j'en ai pris beaucoup
Mais le seul qu'ait tenu le coup
Qui n'ai jamais viré de bord
Mais viré de bord
Naviguait en père peinard
Sur la grand-mare des canards
Et s'app'lait les Copains d'abord
Les Copains d'abord
Non, ce n'était pas le radeau
De la Méduse, ce bateau
Qu'on se le dise au fond des ports
Dise au fond des ports
Il naviguait en pèr' peinard
Sur la grand-mare des canards
Et s'app'lait les Copains d'abord
Les Copains d'abord

Ses fluctuat nec mergitur
C'était pas d'la litterature
N'en déplaise aux jeteurs de sort
Aux jeteurs de sort
Son capitaine et ses mat'lots
N'étaient pas des enfants d'salauds
Mais des amis franco de port
Des copains d'abord

C'étaient pas des amis de luxe
Des petits Castor et Pollux
Des gens de Sodome et Gomorrhe
Sodome et Gomorrhe
C'étaient pas des amis choisis
Par Montaigne et La Boetie
Sur
le ventre ils se tapaient fort
Les copains d'abord

C'étaient pas des anges non plus
L'Évangile, ils l'avaient pas lu
Mais ils s'aimaient tout's voil's dehors
Tout's voil's dehors
Jean, Pierre, Paul et compagnie
C'était leur seule litanie
Leur Credo, leur Confiteor
Aux copains d'abord


Au moindre coup de Trafalgar
C'est l'amitié qui prenait l'quart
C'est elle qui leur montrait le nord
Leur montrait le nord
Et quand ils étaient en détresse
Qu'leurs bras lancaient des S.O.S.
On aurait dit les sémaphores
Les copains d'abord

Au rendez-vous des bons copains
Y avait pas souvent de lapins
Quand l'un d'entre eux manquait a bord
C'est qu'il était mort
Oui, mais jamais, au grand jamais
Son trou dans l'eau n'se refermait
Cent ans après, coquin de sort
Il manquait encore

Des bateaux j'en ai pris beaucoup
Mais le seul qu'ait tenu le coup
Qui n'ai jamais viré de bord
Mais viré de bord
Naviguait en père peinard
Sur la grand-mare des canards
Et s'app'lait les Copains d'abord
Les Copains d'abord





Le Pénitencier:





Les portes du pénitencier
Bientôt vont se fermer
Et c'est là que je finirai ma vie
Comm'd'autres gars l'ont finie
Pour moi ma mère a donné
Sa robe de mariée
Peux-tu jamais me pardonner
Je t'ai trop fait pleurer
Le soleil n'est pas fait pour nous
C'est la nuit qu'on peut tricher
Toi qui ce soir a tout perdu
Demain tu peux gagner .

O mères, écoutez-moi
Ne laissez jamais vos garçons
Seuls la nuit traîner dans les rues
Ils iront tout droit en prison
Toi la fille qui m'a aimé
Je t'ai trop fait pleurer
Les larmes de honte que tu as versées
Il faut les oublier
Les portes du pénitencier
Bientôt vont se fermer
Et c'est là que je finirai ma vie
Comm'd'autres gars l'ont finie

Les portes du pénitencier
Bientôt vont se refermer
Et c'est là que je finirai ma vie
Comm'd'autres gars l'ont finie
Pour moi ma mère a donné
Sa robe de mariée
Peux-tu jamais me pardonner
Je t'ai trop fait pleurer
Le soleil n'est pas fait pour nous
C'est la nuit qu'on peut tricher
Toi qui ce soir a tout perdu
Demain tu peux gagner .
O mères, écoutez-moi
Ne laissez jamais vos garçons
Seuls la nuit traîner dans les rues
Ils iront tout droit en prison
Toi la fille qui m'a aimé
Je t'ai trop fait pleurer
Les larmes de honte que tu as versées
Il faut les oublier
Les portes du pénitencier
Bientôt vont se refermer
Et c'est là que je finirai ma vie
Comm'd'autres gars l'ont finie






Let It Be
Lennon - McCartney

When I find myself in times of trouble
Mother Mary comes to me
Speaking words of wisdom, let it be
And in my hour of darkness
She is standing right in front of me
Speaking words of wisdom, let it be
Let it be, let it be
Let it be, let it be
Whisper words of wisdom, let it be


And when the broken hearted people
Living in the world agree
There will be an answer, let it be
For though they may be parted there is
Still a chance that they will see
There will be an answer, let it be
Let it be, let it be
Let it be, let it be
Yeah there will be an answer, let it be
Let it be, let it be
Let it be, let it be
Whisper words of wisdom, let it be


Let it be, let it be
Let it be, let it be
Whisper words of wisdom, let it be







And when the night is cloudy
There is still a light that shines on me
Shine until tomorrow, let it be
I wake up to the sound of music
Mother Mary comes to me
Speaking words of wisdom, let it be


Let it be, let it be
Let it be, yeah let it be
There will be an answer, let it be


Let it be, let it be
Let it be, yeah let it be
Whisper words of wisdom, let it be


Let it be, let it be
Let it be, yeah let it be
There will be an answer, let it be




L'incendie à Rio

En pleine nuit une sirène
Appelle au feu tous les pompiers
Et tout Rio qui se réveille
Voit brûler l'usin' de café
Il n'y a pas de temps à perdre
Sinon tout l'quartier va brûler
Oui mais voilà
Pendant c'temps là à la caserne
On
entends les pompiers crier :

Qu'est-c'qu'on a fait des tuyaux ?
Des lances et d'la grande échelle
Qu'est-c'qu'on a fait des tuyaux?
Pas d'panique il nous les faut

Mais l'incendie là-bas fait rage
Et le ciel est noir de fumée
Et tous les gens dans les étages
Se dis'nt : "Mais que font les pompiers ?"
Il n'y a pas de temps à perdre
Sinon tout l'quartier va brûler
Oui mais voilà
Pendant c'temps là à la caserne
On
entends les pompiers crier :

Qu'est-c'qu'on a fait des tuyaux ?
Des lances et d'la grande échelle
Qu'est-c'qu'on a fait des tuyaux?
Pas d'panique il nous les faut

Au p'tit matin on le devine
Tout le quartier avait brûlé
Il ne restait que des ruines
Sur des centain's de mètr's carrés !
Quand tout à coup dans le jour blême
On vit accourir un pompier
Qui s'écria : "Je viens d'la part du capitaine
Vous dir' de n'pas vous énerver"

On a r'trouvé les tuyaux
Les lances et la grande échelle
Mais on est en panne d'auto
Et on cherch' la manivelle


Méditerranée



Sous le climat qui fait chanter tout le Midi,
Sous le soleil qui fait mûrir les ritournelles,
Dans tous les coins on se croirait au Paradis
Près d'une mer toujours plus bleue, toujours plus belle
Et pour qu'elle ait dans sa beauté plus de douceur
Mille jardins lui font comme un collier de fleurs...

{Refrain:}
Méditerranée
Aux îles d'or ensoleillées
Aux rivages sans nuages
Au ciel enchanté
Méditerranée
C'est une fée qui t'a donné
Ton décor et ta beauté
Mé-di-terranée !

Au clair de lune, entendez-vous dans le lointain,
Comme un écho qui, sur les vagues, s'achemine ?
Entendez-vous le gai refrain des tambourins
Accompagné du trémolo des mandolines ?
C'est la chanson qui vient bercer, toutes les nuits,
Les amoureux du monde entier qu'elle a séduits.

{Refrain}


Mirza


Z'avez pas vu Mirza ? Oh la la la la la la
Z'avez
pas vu Mirza ? Oh la la la la la la
Z'avez
pas vu Mirza ? Oh la la la la la la

est donc passé ce chien
Je le cherche partout
Où est donc passé ce chien
Il va me rendre fou
Où est donc passé ce chien
Oh! Ça y est, je le vois !
Veux tu venir ici,
Je n'le répéterai pas
Veux-tu venir ici,
Mmmmm, sale bête va !
Veux-tu venir ici
Oh! Il est reparti

Où est donc passé ce chien
Je le cherche partout
Où est donc passé ce chien
Il va me rendre fou
Où est donc passé ce chien
Oh! Ça y est je le vois !
C'est bien la dernière fois
Que je te cherche comme ça
Veux tu venir ici
Je n'le répèterai pas
Veux tu venir ici
Oh et ne bouge pas
Veux tu venir ici
Oh yeah ! satané Mirza








Mon Amant De Saint-jean:

1 - Je ne sais pourquoi j'allais danser
A Saint-Jean au musette,
Mais quand un gars m'a pris un baiser,
J'ai frissonné, j'étais chipée
Comment ne pas perdre la tête,
Serrée par des bras audacieux
Car l'on croit toujours
Aux doux mots d'amour
Quand ils sont dits avec les yeux
Moi qui l'aimais tant,
Je le trouvais le plus beau de Saint-Jean,
Je restais grisée
Sans volonté
Sous ses baisers.

2 - Sans plus réfléchir, je lui donnais
Le meilleur de mon être
Beau parleur chaque fois qu'il mentait,
Je le savais, mais je l'aimais.
Comment ne pas perdre la tête,
Serrée par des bras audacieux
Car l'on croit toujours
Aux doux mots d'amour
Quand ils sont dits avec les yeux
Moi qui l'aimais tant,
Je le trouvais le plus beau de Saint-Jean,
Je restais grisée
Sans volonté
Sous ses baisers.

3 - Mais hélas, à Saint-Jean comme ailleurs
Un serment n'est qu'un leurre
J'étais folle de croire au bonheur,
Et de vouloir garder son c
œur.
Comment ne pas perdre la tête,
Serrée par des bras audacieux
Car l'on croit toujours
Aux doux mots d'amour
Quand ils sont dits avec les yeux
Moi qui l'aimais tant,
Mon bel amour, mon amant de Saint-Jean,
Il ne m'aime plus
C'est du passé
N'en parlons plus

1 - Je ne sais pourquoi j'allais danser
A Saint-Jean au musette,
Mais quand un gars m'a pris un baiser,
J'ai frissonné, j'étais chipée
Comment ne pas perdre la tête,
Serrée par des bras audacieux
Car l'on croit toujours
Aux doux mots d'amour
Quand ils sont dits avec les yeux
Moi qui l'aimais tant,
Je le trouvais le plus beau de Saint-Jean,
Je restais grisée
Sans volonté
Sous ses baisers.

2 - Sans plus réfléchir, je lui donnais
Le meilleur de mon être
Beau parleur chaque fois qu'il mentait,
Je le savais, mais je l'aimais.
Comment ne pas perdre la tête,
Serrée par des bras audacieux
Car l'on croit toujours
Aux doux mots d'amour
Quand ils sont dits avec les yeux
Moi qui l'aimais tant,
Je le trouvais le plus beau de Saint-Jean,
Je restais grisée
Sans volonté
Sous ses baisers.

3 - Mais hélas, à Saint-Jean comme ailleurs
Un serment n'est qu'un leurre
J'étais folle de croire au bonheur,
Et de vouloir garder son c
œur.
Comment ne pas perdre la tête,
Serrée par des bras audacieux
Car l'on croit toujours
Aux doux mots d'amour
Quand ils sont dits avec les yeux
Moi qui l'aimais tant,
Mon bel amour, mon amant de Saint-Jean,
Il ne m'aime plus
C'est du passé
N'en parlons plus








Porque te vas



Hoy en mi ventana brilla el sol
Y el corazón
Se pone triste contemplando la ciudad
Porque
te vas

Como cada noche desperté
Pensando en ti
Y en mi reloj todas las horas vi pasar
Porque te vas

Todas las promesas de mi amor se irán contigo
Me olvidarás
Me olvidarás

Junto a la estacion yo lloraré igual que un niño
Porque te vas
Porque te vas

Bajo la penumbra de un farol
Se dormirán
Todas las cosas que quedaron por decir
Se dormirán

Junto a las manillas de un reloj
Esperarán
Todas las horas que quedaron por vivir
Esperarán

Todas las promesas de mi amor se irán contigo
Me olvidarás
Me olvidarás

Junto a la estación yo lloraré igual que un niño
Porque te vas
Porque te vas
Porque te vas x2




Pour un flirt





Pour un flirt avec toi
Je ferais n'importe quoi
Pour un flirt avec toi
Je serais prêt à tout
Pour un simple rendez-vous
Pour un flirt avec toi

Pour un petit tour, un petit jour
Entre tes bras
Pour un petit tour, au petit jour
Entre tes draps

Je pourrais tout quitter
Quitte à faire démodé
Pour un flirt avec toi
Je pourrais me damner
Pour un seul baiser volé
Pour un flirt avec toi

Pour un petit tour, un petit jour
Entre tes bras
Pour un petit tour, au petit jour
Entre tes draps

Je ferais l'amoureux
Pour te câliner un peu
Pour un flirt avec toi
Je ferais des folies
Pour arriver dans ton lit
Pour un flirt avec toi

Pour un petit tour, un petit jour
Entre tes bras
Pour un petit tour, au petit jour
Entre tes draps




Santiano:



C'est un fameux trois-mâts fin comme un oiseau.
Hisse et ho, Santiano !
Dix huit n
œuds, quatre cent tonneaux :
Je suis fier d'y être matelot.

{Refrain:}
Tiens bon la vague tiens bon le vent.
Hisse et ho, Santiano !
Si Dieu veut toujours droit devant,
Nous irons jusqu'à San Francisco.

Je pars pour de longs mois en laissant Margot.
Hisse et ho, Santiano !
D'y penser j'avais le c
œur gros
En doublant les feux de Saint-Malo.

{Refrain}

On prétend que là-bas l'argent coule à flots.
Hisse et ho, Santiano !
On trouve l'or au fond des ruisseaux.
J'en ramènerai plusieurs lingots.

{Refrain}

Un jour, je reviendrai chargé de cadeaux.
Hisse et ho, Santiano !
Au pays, j'irai voir Margot.
A son doigt, je passerai l'anneau.

Tiens bon la vague tiens bon le vent.
{Tiens bon le cap tiens bon le flot.}
Hisse et ho, Santiano !
Sur la mer qui fait le gros dos,
Nous irons jusqu'à San Francisco

C'est un fameux trois-mâts fin comme un oiseau.
Hisse et ho, Santiano !
Dix huit n
œuds, quatre cent tonneaux :
Je suis fier d'y être matelot.

{Refrain:}
Tiens bon la vague tiens bon le vent.
Hisse et ho, Santiano !
Si Dieu veut toujours droit devant,
Nous irons jusqu'à San Francisco.

Je pars pour de longs mois en laissant Margot.
Hisse et ho, Santiano !
D'y penser j'avais le c
œur gros
En doublant les feux de Saint-Malo.

{Refrain}

On prétend que là-bas l'argent coule à flots.
Hisse et ho, Santiano !
On trouve l'or au fond des ruisseaux.
J'en ramènerai plusieurs lingots.

{Refrain}

Un jour, je reviendrai chargé de cadeaux.
Hisse et ho, Santiano !
Au pays, j'irai voir Margot.
A son doigt, je passerai l'anneau.

Tiens bon la vague tiens bon le vent.
{Tiens bon le cap tiens bon le flot.}
Hisse et ho, Santiano !
Sur la mer qui fait le gros dos,
Nous irons jusqu'à San Francisco




Travailler C' Est Trop Dur:





Travailler, c'est trop dur, et voler, c'est pas beau.
D'mander la charité, c'est quéqu' chose j'peux pas faire.
Chaque jour que moi j' vis, on m' demande de quoi j'vis.
J' dis que j' vis sur l'amour, et j'espère de viv' vieux !

Et je prends mon vieux ch'val, et j'attrap' ma vieille selle
Et je sell' mon vieux ch'val pour aller chercher ma bell'.
Tu connais, c'est loin d'un grand bout d' là, de Saint-Antoine à Beaumont
Mais le long du grand Texas, j' l'ai cherchée bien longtemps.

Et je prends mon violon, et j'attrap' mon archet,
Et je joue ma vieille valse pour fair' le monde danser.
Vous connaissez, mes chers amis, la vie est bien trop courte
Pour se faire des soucis, alors... allons danser !

Travailler, c'est trop dur, et voler c'est pas beau.
D'mander la charité, c'est quéqu' chose j' peux pas faire.
Chaque jour que moi j' vis, on m' demand' de quoi j' vis,
J' dis que j' vis sur l'amour! et j'espère de viv' vieux !


(Thanks to trash91 for these lyrics)

Travailler, c'est trop dur, et voler, c'est pas beau.
D'mander la charité, c'est quéqu' chose j'peux pas faire.
Chaque jour que moi j' vis, on m' demande de quoi j'vis.
J' dis que j' vis sur l'amour, et j'espère de viv' vieux !

Et je prends mon vieux ch'val, et j'attrap' ma vieille selle
Et je sell' mon vieux ch'val pour aller chercher ma bell'.
Tu connais, c'est loin d'un grand bout d' là, de Saint-Antoine à Beaumont
Mais le long du grand Texas, j' l'ai cherchée bien longtemps.

Et je prends mon violon, et j'attrap' mon archet,
Et je joue ma vieille valse pour fair' le monde danser.
Vous connaissez, mes chers amis, la vie est bien trop courte
Pour se faire des soucis, alors... allons danser !

Travailler, c'est trop dur, et voler c'est pas beau.
D'mander la charité, c'est quéqu' chose j' peux pas faire.
Chaque jour que moi j' vis, on m' demand' de quoi j' vis,
J' dis que j' vis sur l'amour! et j'espère de viv' vieux !





Tu veux ou tu veux pas



Tu veux ou tu veux pas
Tu veux c'est bien
Si tu veux pas tant pis
Si tu veux pas
J'en f'rai pas une maladie
Oui mais voilà réponds-moi
Non ou bien oui
C'est comme ci ou comme ça
Ou tu veux ou tu veux pas

Tu veux ou tu veux pas
Toi tu dis noir et après tu dis blanc
C'est noir c'est noir
Oui mais si c'est blanc c'est blanc
C'est noir ou blanc
Mais ce n'est pas noir et blanc
C'est comme ci ou comme ça
Ou tu veux ou tu veux pas

La vie, oui c'est une gymnastique
Et c'est comme la musique
Y
a du mauvais et du bon
La vie, pour moi elle est magnifique
Pourquoi tu te la compliques
Par
des hésitations

La vie, elle peut être très douce
A condition que tu la pousses
Dans
la bonne direction
La vie, elle est là elle nous appelle
Avec toi elle sera belle
Si tu viens à la maison

Tu
veux ou tu veux pas ? hein !
Quoi ? Ah ! tu dis oui
Ah ! a a a a a a a
Et ben moi j'veux plus !
Ouh ! la la



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